Trois raisons pour lesquelles l'emploi de cariste pourrait être le job de votre vie
Peter, Jonas et Marion partagent une passion pour les roues, les gens et la sécurité. Le travail de cariste était donc fait pour eux.
Nous leur donnons la parole :
- Fort de 40 ans d'ancienneté, Peter Winkens est le cariste le plus expérimenté. Il travaille chez Unilin Insulation à Oisterwijk (Pays-Bas)
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Marion De Monteynard évolue chez Unilin Insulation à Sury-le-Comtal (France)
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Jonas Decroix travaille depuis 5 ans comme cariste chez Unilin Insulation à Desselgem (Belgique)
La passion des roues
Jonas et Marion partagent une passion pour tout ce qui roule. C'est ce qui les a le plus motivés à postuler pour un emploi de cariste. Jonas : “J'ai postulé en interne pour cet emploi alors que je travaillais ici depuis six mois en tant qu'opérateur de machine, car le poste m'attirait énormément. J'aime conduire des véhicules et travailler de manière autonome.” Marion s'est quant à elle installée très jeune derrière le volant. “J'ai grandi dans une ferme et je conduisais déjà des tracteurs à 12 ans (rires).”
Il n'y a pas deux jours pareils
Ceux qui pensent qu'un cariste fait toujours la même chose se trompent lourdement. La variété des tâches et les contacts sociaux rendent justement ce travail intéressant et stimulant. Jonas : “Chaque jour est différent. C'est aussi un travail très social : j'ai beaucoup de contacts avec les collègues et les chauffeurs. Depuis que j'ai commencé ici il y a 5 ans, les cargaisons ont également changé. Auparavant, elles étaient principalement constituées de paquets provenant du stock, aujourd'hui elles sont beaucoup plus variées dans leur composition et leur forme. C'est d'autant plus agréable, car je dois trouver moi-même la meilleure façon de charger les camions.”
Ce « Tetris » est aussi ce qui plaît le plus à Peter. “Charger un camion ne se fait pas d'une traite. C'est toujours un peu un casse-tête pour tout mettre en place de la meilleure façon possible.”
Quand on demande à Marion ce qu'elle aime le plus dans son travail, elle répond immédiatement avec enthousiasme : “Le contact avec les chauffeurs! J'adore être en contact avec des personnes différentes chaque jour. L'ambiance est également au beau fixe avec les huit autres caristes et nos supérieurs.”
La sécurité avant tout
Jonas, Marion et Peter réalisent l'importance de leur responsabilité en matière de sécurité au travail. Ils savent à quel point les choses peuvent vite mal tourner. Peter : “Je suis ravi que les chariots élévateurs aient désormais priorité sur les piétons. Les collègues qui circulent ne sont en effet pas conscients de ce qu'un chauffeur voit ou pas. Je trouve extrêmement important d'être très visible, c'est pourquoi j'allume toujours les feux du chariot élévateur.”
Jonas le rejoint : “Je fais très attention à garder mes distances et à bien communiquer avec les chauffeurs de camion. La sécurité est ancrée dans notre culture d'entreprise. Tout le monde y œuvre activement. J'ai beaucoup appris ici sur la sécurité, mais je suis moi-même aussi quelqu'un qui analyse les risques de son propre chef.”
Marion estime également que le plus important est de bien communiquer. Son outil privilégié pour ce faire : son klaxon. “Je l'utilise tout le temps : aux carrefours, en entrant ou en sortant d'un bâtiment, pour avertir les chauffeurs de camion et les collègues que j'arrive... Il vaut mieux klaxonner une fois de trop que pas assez, car les gens ne font pas toujours attention.”