Plus de sécurité au travail améliore la qualité de l’emploi
Unilin attache énormément d’importance à la sécurité et au bien-être sur le lieu de travail et ambitionne d’être une organisation zéro-harm partout dans le monde : une structure où la sécurité fait partie intégrante de la culture d’entreprise, afin que chacun puisse regagner son domicile en toute sécurité à la fin de chaque journée de travail. Pour atteindre cet objectif, Unilin a mis en place, il y a cinq ans, la stratégie de sécurité zéro-harm. René, Kensey, Frederik et Poomalai nous racontent comment cette stratégie a changé leur emploi.
La parole à :
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René Oliveira est Operations Manager et zéro-harm facilitator chez Unilin Flooring à Piên (Brésil).
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Kensey Soetens est opérateur chez Unilin Insulation à Desselgem (Belgique) et, depuis quelques années aussi, observateur zéro-harm. Il vérifie régulièrement si ses collègues respectent les consignes de sécurité requises pendant leur travail. Sur base de ses observations, il remet immédiatement des avis.
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Frederik D’Hondt est chargé du contrôle qualité des stratifiés chez Unilin Flooring à Wielsbeke (Belgique). C’est aussi un super observateur de l’approche zéro-harm.
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Poomalai Murugapan est assistante de sécurité chez Unilin Flooring à Sungai Petani (Malaisie).
Pas à pas, vers plus de sécurité
« Les risques sont omniprésents sur le lieu de travail », affirme Kensey. Ses années d’expérience sur la même machine lui ont appris que la routine peut parfois être dangereuse. « Un jour, je me suis coincé le doigt sous la machine parce que je me dépêchais pour terminer une longue période de boulot. »
Frederik ne comprend que trop bien cette vigilance à l’égard des risques liés à la sécurité. « Après cinq ans de zéro-harm, la sécurité est devenue un réflexe. Je la ramène littéralement chez moi (il rit). Je me demande alors si je monte les escaliers en toute sécurité. Je pense que cela constitue l’un des avantages de l’initiative zéro-harm : vous obtenez gracieusement une foule de trucs et astuces que vous pouvez également mettre en pratique dans votre sphère privée. »
En Malaisie, Poomalai a vécu une expérience similaire. « Lorsque j’ai commencé, les tâches étaient souvent entamées sans que les risques associés aient été pleinement étudiés. Désormais, chaque tâche fait l’objet d’une évaluation de sécurité. Si un élément semble dangereux, nous arrêtons de travailler et faisons appel à un responsable. »
Une prise de conscience identique prévaut chez Unilin Flooring au Brésil. « Nous commençons chaque réunion, quel qu’en soit le thème, par la sécurité », explique René. « En accordant une attention structurelle aux risques, nous favorisons une culture dans laquelle la sécurité devient une évidence. »
Bâtir ensemble un lieu de travail sûr
Un partage des responsabilités est la clé du succès de zéro-harm. En Belgique, Frederik ne veille pas seulement à travailler lui-même en toute sécurité, mais il apprend aussi à ses collègues à identifier les comportements dangereux. « De plus en plus de collègues prennent la sécurité à cœur. Par exemple, si j’attire leur attention sur le fait qu’ils doivent se tenir aux rampes d’escalier, au bout d’un certain temps, ils finissent par le faire d’eux-mêmes. »
Kensey considère également que son rôle d’observateur ne consiste pas à exercer un contrôle, mais représente plutôt une opportunité d’engager le dialogue. « Lors de mes observations, je suis à l’écoute de mes collègues. Ce sont eux qui connaissent le mieux leur poste de travail et qui savent généralement ce qui peut être amélioré. »
Zéro-harm : un défi constant
La stratégie zéro-harm n’est pas encore présente partout au sein du groupe. Elle est pourtant censée l’être, et c’est pourquoi un programme zéro-harm a été lancé en Australie et en Nouvelle-Zélande à la mi-2024. Selon le principe ‘train the trainer’, Unilin forme les collaborateurs locaux de ces pays pour qu’ils puissent déployer ce programme sur place.
Sur les sites où le programme zéro-harm est entièrement mis en œuvre, nous sommes confrontés à un défi différent, à savoir maintenir le niveau élevé de sécurité obtenu et l’engagement de tous. Kensey se dit confiant : « Au final, tout le monde souhaite la même chose : rentrer chez soi en sécurité à la fin de sa période de travail. C’est pourquoi nous restons vigilants, nous sommes à l’écoute les uns des autres et nous mettons tout en œuvre pour que notre lieu de travail soit préservé des accidents. »
Zéro-harm est un élément essentiel dans toutes les fonctions au sein d’Unilin. En savoir plus ?